L’urologie fonctionnelle connaît un essor de plus en plus marqué.

Dans l’hypertrophie bénigne de la prostate, la place des traitements combinés se précisent et l’implication de nouvelles molécules comme les inhibiteurs de la phosphodiestérase de type 5 font leur apparition.

Le traitement de référence de l’incontinence urinaire par insuffisance sphinctérienne reste le sphincter artificiel, y compris chez la femme, où le succès escompté est de l’ordre de 95 %.

L’utilisation de la toxine botulique ne cesse de croître dans le domaine de la neuro-urologie et notamment de la vessie hyperactive où la qualité de vie des patients est améliorée dans la plupart des cas au prix d’une toxicité négligeable, mais d’un effet qui s’estompe dans le temps.

Le diagnostic scannographique des lithiases urinaires permet dorénavant d’en préjuger la nature et la composition à partir de leur densité à l’imagerie.